Quand la chine téléphonera

de Patricia Levrey

Tout public


  

Une comédie explosive à mourir… de rire !

 

 

Quand la chine téléphonera, vous apprendrez qu’on se fait empaler pour des poèmes tibétains, qu’on peut draguer au camembert, que les cadavres se rangent sous les matelas…

 

Un petit « doigt » me dit que quand la chine téléphonera,  vous ne serez pas au bout de vos surprises.

 

Les situations de cette comédie de boulevard désopilante s’enchainent sur un rythme endiablé. La vie rocambolesque des deux sœurs Pujol est tout sauf un long fleuve tranquille.

 

Leurs incroyables aventures vous emporteront dans un tourbillon de rire.

 


Note de mise en scène

 

 

 

Une histoire de famille, des personnages qui cachent de lourds secrets, une intrigue policière… De prime abord tous les ingrédients semblent réunis pour un bon thriller. Oui mais voilà, nous sommes au théâtre dans les années 80-90 et…tout devient possible. Surtout le plus drôle.

En ajoutant un brin d’absurde, une pincée d’incohérence, un zeste de folie et beaucoup de couleurs nous obtenons une comédie de boulevard chamarrée qui nous replonge dans cet univers de sitcoms et autres boîtes à rires, contemporains de l’écriture de la pièce. La Chine n’est plus alors qu’un prétexte pour remettre en lumière et s’amuser encore davantage de ces traits forcés, de ces caricatures, de ces codes qui, alors qu’ils pourraient paraitre désuets, nous ravissent toujours les zygomatiques. Pas de demi-mesure, nous nous assumons à la limite du « rétro-kitsch surréaliste».

 

Claire Laprun


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